Organes: Poumon, type non à petites cellules - Le promoteur: Merck Sharp & Dohme (MSD)
Merck Sharp & Dohme (MSD) MAJ Il y a 4 ans
Essai ouvert aux inclusions
Merck Sharp & Dohme (MSD) MAJ Il y a 4 ans

Étude NCT03515837 : étude de phase 3 évaluant l'efficacité et la sécurité du pémétrexed associé à une chimiothérapie à base de sel de platine et associé à du pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules métastasique avec une mutation de type EGFR résistant à un inhibiteur de la tyrosine kinase. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon qui se sont multipliées de manière anormale pour former une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Il se différencie du cancer du poumon à petites cellules par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Les trois principaux types de cancers du poumon non à petites cellules sont les carcinomes épidermoïdes, les adénocarcinomes et les carcinomes du poumon à grandes cellules (carcinomes indifférenciés). Une grande proportion de patients est diagnostiquée à un stade avancé de la maladie. La chimiothérapie à base de sels de platine reste le traitement de référence des cancers du poumon inopérable. La présence ou non de la mutation EGFR au niveau tumoral oriente la stratégie thérapeutique qui peut différer selon leur type histologique de la tumeur. En cas de mutation EGFR, le traitement recommandé en 1re ligne est une association de deux inhibiteurs de la tyrosine-kinase. L’intérêt des inhibiteurs de la tyrosine kinase a été établi comparativement à la chimiothérapie à base de sel de platine, principalement en termes de survie sans progression. Le pémétrexed est un agent antinéoplasique analogue de l'acide folique, utilisé dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules inhibant préférentiellement la réplication des cellules cancéreuses. Le pembrolizumab est un anticorps monoclonal dirigé contre la protéine PD1 et utilisé comme anticancéreux. Il a également une certaine efficacité dans le cancer du poumon non à petites cellules, en particulier pour les tumeurs exprimant le PD-L1. L’objectif de cette étude est d’évaluer l'efficacité et la sécurité du pémétrexed associé à une chimiothérapie à base de sels de platine et associé à du pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules métastasique avec une mutation de type EGFR résistant à un inhibiteur de la tyrosine kinase. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du groupe 1 recevront du pembrolizumab au 1 er jour, jusqu’à 35 cures associé à du pémétrexed sans restriction sur le nombre de cures et associé à une chimiothérapie à base de sels de platine jusqu’à 4 cures. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du groupe 2 recevront une solution saline normale au 1er jour jusqu’à 35 cures associé à du pémétrexed sans restriction sur le nombre de cures et associé à une chimiothérapie à base de sels de platine jusqu’à 4 cures. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 32 mois après le début de l’étude.

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Étude MK-3475-654 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du pembrolizumab associé à l’épacadostat avec celle du pembrolizumab associé à un placebo chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique et exprimant fortement PD-L1. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le pembrolizumab est un anticorps indiqué chez les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. L’épacadostat est un médicament avec une activité anticancéreuse potentielle qui pourrait être capable d’augmenter l’activité de différentes cellules immunitaires. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du pembrolizumab associé à l’épacadostat avec celle du pembrolizumab associé à un placebo chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules exprimant fortement PD-L1. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront du pembrolizumab, toutes les 3 semaines, associé à de l’épacadostat, 2 fois par jour. Le traitement sera répété jusqu’à 35 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du pembrolizumab, toutes les 3 semaines, associé avec un placebo PO, 2 fois par jour. Le traitement sera répété jusqu’à 35 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus 30 jours après l’arrêt du traitement puis toutes les 12 semaines.

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Étude KEYNOTE-671 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du pembrolizumab en association avec un doublet de chimiothérapie à base de platine avec celle du placebo en association avec un doublet de chimiothérapie à base de platine chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade IIb ou IIIa résécable. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon qui se multiplient de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l'ensemble des cancers du poumon. La combinaison de différents types de traitements est souvent proposée au patient. Elle se base sur le type du cancer, sur le stade et sur l’état du patient. Un traitement adjuvant (après la chirurgie) peut être utilisé chez certains patients. Le pembrolizumab est un médicament d’immunothérapie qui a montré une activité anticancéreuse clinique sur un large éventail de tumeurs. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du pembrolizumab en association avec un doublet de chimiothérapie à base de platine avec celle du placebo en association avec un doublet de chimiothérapie à base de platine chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade IIb ou IIIa résécable. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront, avant l’opération, du pembrolizumab en association avec un doublet de chimiothérapie à base de platine avec du cisplatine le premier jour associé à de la gemcitabine le premier jour et 1 semaine plus tard ou du pémétrexed le premier jour. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Après ce traitement les patients auront une chirurgie pour enlever la tumeur. Quatre à douze semaines après l’opération, les patients recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 13 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront avant l’opération, un placebo associé avec le même doublet de chimiothérapie à base de platine que les patients du 1er groupe. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à 4 cures en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Après ce traitement les patients auront une chirurgie pour enlever la tumeur. Quatre à douze semaines après l’opération, les patients recevront le placebo toutes les 3 semaines jusqu’à 13 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 5 ans maximum.

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Étude KEYNOTE-867 : étude de phase 3 randomisée comparant la sécurité et l’efficacité de la radiothérapie stéréotaxique du corps par rapport à la radiothérapie stéréotaxique du corps associé à du pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules inopérable. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) est un type de cancer du poumon, qui se différencie du cancer du poumon à petites cellules (CPPC) par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Il y a plusieurs possibilités de traitement, selon le type et le stade du cancer : la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, et l’immunothérapie, parmi lesquelles le durvalumab est actuellement indiqué en monothérapie dans le traitement de certains cancers bronchiques non à petites cellules. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le pembrolizumab est un anticorps monoclonal qui se lie à une protéine des cellules cancéreuses et les empêche ainsi d’échapper au système immunitaire. La radiothérapie stéréotaxique est une forme de radiothérapie de haute précision qui utilise des microfaisceaux convergents. Cela permet d’irradier à haute dose de très petits volumes dans le corps du patient et ainsi de concentrer davantage de radiation sur la tumeur. Plusieurs résultats de recherche récents montrent son intérêt pour la survie des patients. L’objectif de cette étude est de comparer la sécurité et l’efficacité de la radiothérapie stéréotaxique seul par rapport à la radiothérapie stéréotaxique associé à du pembrolizumab chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules inopérable. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront une radiothérapie stéréotaxique du corps entier, tous les 3 jours pendant 2 semaines associé à du pembrolizumab, toutes les 3 semaines jusqu’à 17 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront une radiothérapie stéréotaxique du corps entier, tous les 3 jours pendant 2 semaines associé à un placebo, toutes les 3 semaines jusqu’à 17 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 6 ans.

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Étude KEYNOTE-799 : étude de phase 2 évaluant l’efficacité du pembrolizumab (MK-3475), associé à une chimiothérapie à base de platine et une radiothérapie, chez patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade 3, non résécable et localement avancé. Le cancer du poumon non à petites cellules est le plus fréquent, il représente 85-90 % de l'ensemble des cancers du poumon. Il prend habituellement naissance dans les cellules glandulaires situées dans la partie externe du poumon et porte le nom d’adénocarcinome. Le traitement de référence comprend la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie. On associe souvent la chimiothérapie et la radiothérapie. En radiothérapie, on a recours à des rayons ou à des particules de haute énergie pour détruire les cellules cancéreuses. Les associations chimiothérapeutiques les plus souvent employées sont carboplatine et paclitaxel ou cisplatine et pemetrexed. Ces médicaments de chimiothérapie détruisent les cellules en division rapide telles que les cellules cancéreuses. On a recours à l’immunothérapie pour traiter un cancer du poumon non à petites cellules qui est avancé ou métastatique après qu’il ait cessé de réagir à la chimiothérapie ou au traitement ciblé. Les médicaments immunothérapeutiques employés sont entre autres le pembrolizumab qui est un anticorps monoclonal anti-PD1 qui bloque un mécanisme de protection des cellules cancéreuses et permet ainsi au système immunitaire de les détruire. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du pembrolizumab associé à une chimiothérapie à base de platine et une radiothérapie chez patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules de stade 3, non résécable et localement avancé. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront à du pembrolizumab, du paclitaxel, du carboplatine AUC6. Après 3 semaines, les patients recevront 2 cures supplémentaires d’un traitement par le pembrolizumab toutes les 3 semaines, le carboplatine AUC2 1 fois par semaine et le paclitaxel 1 fois par semaine, associé à une radiothérapie thoracique standard pendant 6 semaines. Puis les patients recevront du pembrolizumab tous les 3 semaines jusqu’à 14 cures, en l’absence de progression et d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront du pembrolizumab, du pemetrexed et du cisplatine, toutes les 3 semaines jusqu’à 3 cures, en association avec une radiothérapie thoracique standard pendant 6 semaines lors de la 2ème et 3ème cure. Puis les patients recevront du pembrolizumab tous les 3 semaines jusqu’à 14 cures, en l’absence de progression et d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 1 an après le début de l’étude.

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Étude KEYNOTE-598 : étude de phase 3 randomisée, en double aveugle, évaluant l’efficacité du pembrolizumab associé à de l’ipilimumab par rapport à du pembrolizumab associé à un placebo, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique de stade 4 non préalablement traités, avec une expression positive du PD-L1 (TPS ≥ 50%). [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules prend habituellement naissance dans les cellules glandulaires situées dans la partie externe du poumon et porte le nom d’adénocarcinome. Il peut aussi prendre naissance dans les cellules minces et plates appelées cellules squameuses. Celles-ci tapissent les bronches qui sont les grosses voies respiratoires se ramifiant de la trachée jusqu’aux poumons. On parle alors de carcinome épidermoïde du poumon. Le stade 4 signifie que le cancer s’est propagé à d’autres parties du corps, on parle alors d’un cancer du poumon non à petites cellules métastasique. Le traitement par immunothérapie est la référence du cancer du poumon non à petites cellules métastatique de stade 4 est l’immunothérapie. Les médicaments immunothérapeutiques employés sont entre autres le pembrolizumab. Le pembrolizumab stimule le système immunitaire du corps pour combattre les cellules cancéreuses. Il cible et bloque une protéine appelée PD-1 à la surface de certaines cellules immunitaires, appelée cellules T. Le blocage de PD-1 amène les cellules T à rechercher et tuer les cellules cancéreuses. L’ipilimumab agit en stimulant certaines cellules immunitaires appelées cellules T. Il bloque la protéine CTLA-4 située à la surface des cellules T afin que les lymphocytes T restent activés et actifs pour attaquer les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du pembrolizumab associé à de l’ipilimumab par rapport à du pembrolizumab associé à un placebo, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique de stade 4 non préalablement traités, avec une expression positive du PD-L1 (TPS ≥ 50%). Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 35 fois, associé à de l'ipilimumab toutes les 6 semaines jusqu’à 18 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2e groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 35 fois, associé à un placebo toutes les 6 semaines jusqu’à 18 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus toutes les 3 semaines, puis tous les 3 mois et toutes les 12 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 5 ans après le début de l’étude.

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Étude KEYNOTE-598 : étude de phase 3 randomisée, en double aveugle, évaluant l’efficacité du pembrolizumab associé à de l’ipilimumab par rapport à du pembrolizumab associé à un placebo, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique de stade 4 non préalablement traités, avec une expression positive du PD-L1 (TPS ≥ 50%). [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] Le cancer du poumon non à petites cellules prend habituellement naissance dans les cellules glandulaires situées dans la partie externe du poumon et porte le nom d’adénocarcinome. Il peut aussi prendre naissance dans les cellules minces et plates appelées cellules squameuses. Celles-ci tapissent les bronches qui sont les grosses voies respiratoires se ramifiant de la trachée jusqu’aux poumons. On parle alors de carcinome épidermoïde du poumon. Le stade 4 signifie que le cancer s’est propagé à d’autres parties du corps, on parle alors d’un cancer du poumon non à petites cellules métastasique. Le traitement par immunothérapie est la référence du cancer du poumon non à petites cellules métastatique de stade 4 est l’immunothérapie. Les médicaments immunothérapeutiques employés sont entre autres le pembrolizumab. Le pembrolizumab stimule le système immunitaire du corps pour combattre les cellules cancéreuses. Il cible et bloque une protéine appelée PD-1 à la surface de certaines cellules immunitaires, appelée cellules T. Le blocage de PD-1 amène les cellules T à rechercher et tuer les cellules cancéreuses. L’ipilimumab agit en stimulant certaines cellules immunitaires appelées cellules T. Il bloque la protéine CTLA-4 située à la surface des cellules T afin que les lymphocytes T restent activés et actifs pour attaquer les cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité du pembrolizumab associé à de l’ipilimumab par rapport à du pembrolizumab associé à un placebo, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique de stade 4 non préalablement traités, avec une expression positive du PD-L1 (TPS ≥ 50%). Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 35 fois, associé à de l'ipilimumab toutes les 6 semaines jusqu’à 18 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2e groupe recevront du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à 35 fois, associé à un placebo toutes les 6 semaines jusqu’à 18 fois. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus toutes les 3 semaines, puis tous les 3 mois et toutes les 12 semaines. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 5 ans après le début de l’étude.

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Étude MK-3475-654 : étude de phase 3 randomisée comparant l’efficacité du pembrolizumab associé à l’épacadostat avec celle du pembrolizumab associé à un placebo chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, métastatique et exprimant fortement PD-L1. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, représentant 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le pembrolizumab est un anticorps indiqué chez les patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules. L’épacadostat est un médicament avec une activité anticancéreuse potentielle qui pourrait être capable d’augmenter l’activité de différentes cellules immunitaires. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité du pembrolizumab associé à l’épacadostat avec celle du pembrolizumab associé à un placebo chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules exprimant fortement PD-L1. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du premier groupe recevront du pembrolizumab, toutes les 3 semaines, associé à de l’épacadostat, 2 fois par jour. Le traitement sera répété jusqu’à 35 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront du pembrolizumab, toutes les 3 semaines, associé avec un placebo PO, 2 fois par jour. Le traitement sera répété jusqu’à 35 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront revus 30 jours après l’arrêt du traitement puis toutes les 12 semaines.

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